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LE DILEMME DE WENDY

Avez-vous déjà entendu parler du syndrome de Wendy?

Peut-être penseriez-vous à un comportement qui rappel celui de nos mères des leurs.

Pourtant la réalité en est tout autre.

En effet le dilemme de Wendy se caractérise par une inquiétude excessive pour le bien-être autrui, accompagnée également de sentiments tels que la peur d’être rejetée. Le dilemme de Wendy se définit notamment par les caractéristiques de surprotection. Ces femmes, semblent vivre dans l’insécurité continuelle.

Les femmes présentant ce comportement ont des signes qui ne trompent pas, tel que:

  •  Vouloir se sentir indispensables. 

  •  Elles ressentent le besoin de prendre soin des autres, car c’est le moyen par lequel  elles pensent rendre heureuses les personnes qui les entourent.

  •  Elle donne tout pour les autres, car c’est de cette manière qu’elle est heureuse.

  •  Essayer de rendre leur couple le plus heureux possible et ceci continuellement.

  •  Eviter que les autres se fâchent.

  •  Demander pardon pour tout ce qu’elles font, etc.

  •  Cherchent sans cesse à être acceptées par les autres en accédant à des conduites  plaisantes, car elles pensent ainsi obtenir leur respect.

  •  Elles sont avant tout prisonnières de leur peur du rejet et de l’abandon.

  • Les personnes souffrant du syndrome de Wendy ont peur de deux choses : que les personnes dont elles prennent soin cessent d’avoir besoin d’elles, et de se retrouver seules.L’idée de ne devoir s’occuper de personne les plonge dans une sorte de terreur, car c’est le seul moyen qu’elles ont trouvé de se rendre utiles, et d’offrir de l’amour.C’est grâce à cela qu’elles ont l’impression d’être nécessaires à la société.

  •  Affichent une tendance prononcée à l’auto-sacrifice: en faisant précéder leurs propres besoins par ceux des autres. et en sacrifiant leurs passions, et tout ce qui est important pour elles.

  •  Des attitudes comme « c’est bon, je m’en occupe », « je le fais, ne t’inquiète pas », ou  encore « je ne sais pas ce que tu ferais sans moi » sont les refrains préférés des  femmes Wendy.

Dans leur relation de couple, elles représentent plus une figure maternelle qu’une figure d’épouse ou d’amante, favorisant ainsi l’immaturité masculine ou le syndrome de Peter Pan.

  • Pour elles, le fait d’être attentionné est un moyen d’offrir de l’amour. Elles le font d’elles-mêmes, sans que personne ne leur impose de prendre soin des autres.Cependant, elles s’entendent très bien avec un partenaire ayant le syndrome de Peter Pan. Ces hommes immatures, qui se laissent porter, fuyant les responsabilisés, mais également de celle des autres. et comptent sur leur conjointe pour prendre presque tout en charge, comme les enfants par exemple.

  • Dans le conte de Barie, Peter est un jeune enfant qui refuse de grandir, qui ne veut pas avoir les responsabilités d’un adulte, et qui souhaite vivre une vie d’aventures, sans jamais entrer dans la sphère si pesante de la stabilité et de la maturité. Alors que, Wendy Darling est une jeune fille qui, durant toute l’histoire, est l’ombre de Peter. Elle s’occupe de nettoyer sa maison, et de prendre soin des « enfants perdus ».

Bien entendu nous avons tous le besoin de prendre soin de notre partenaire, de tout lui donner et de prioriser ses besoins avant les nôtres, c'est quelque chose de très commun de nos jours.

Par contre beaucoup de personnes commettent l’erreur de trop aimer leur conjoint, en perdant l’estime qu’elles avaient pour elles-mêmes.

Il est important de savoir maintenir une limite et un certain équilibre.

Nous pouvons adorer notre partenaire, nos parents ou nos amis, mais nous ne devons jamais basculer dans une situation extrême, dans laquelle nous oublions tous nos besoins et nous laissons de côté notre épanouissement personnel. 

Il faut également prendre en compte un autre aspect important de ce syndrome.
Si prendre soin des autres est quelque chose qui les remplit de bonheur, il arrive toujours un moment où elles se rendent compte que les personnes dont elles s’occupent sont en train de les manipuler.
Elles finiront donc par se sentir frustrées et non valorisées. Il faut faire très attention à ce type de comportements, car cela peut dériver rapidement en dépression.

  • Prendre soin des autres, mais également de soi-même

  • Il ne s’agit pas d’arrêter de prendre soin des autres et de vous préoccuper pour les gens que vous aimez.

  • Votre conjoint, votre famille et surtout vos enfants ont besoin de vous. Ce sont des personnes qui font partie de votre vie, qui vous identifient, et qui sont des piliers indiscutables de votre quotidien.

  • Cependant, vous devez rechercher l’équilibre dans toutes vos relations personnelles, et prendre en compte les aspects suivants :

  • N’oubliez pas de penser à votre épanouissement personnel. Ayez votre propre espace et vos passions, défendez vos valeurs et prenez soin de votre estime personnelle.
    Si vous donnez tout aux autres, vous allez vous sentir vide. Vous arriverez à un moment de votre vie où vous ne ressentirez que de l’insatisfaction, de la frustration et de la tristesse.
    Comment pouvez-vous être utile à vos proches si vous êtes vous-même malheureuse ?

  • Si vous êtes une personne fière d’elle-même et heureuse, que vous avez une bonne estime de vous-même et que vous êtes autonome, vous pourrez apporter votre énergie positive à toutes les personnes qui vous entourent. Vous les remplirez d’émotions, et cela n’a pas de prix.

  • Prenez soin de votre partenaire, de la personne que vous aimez. Cependant, gardez à l’esprit que vous méritez également d’être chouchoutée, reconnue et valorisée.
    Il s’agit d’un système de vases communicants, dans lequel personne ne doit perdre ou gagner.
    Si vous vous sentez heureuse en prenant soin des autres, rappelez-vous que vous devez également prendre soin de vous-même.
    Cultivez votre bonheur, car c’est la seule manière dont vous pourrez offrir du bonheur aux autres.

Le professeur Dan Kiley a rencontrer des milliers de femmes en consultation à travers le pays.

Il a noter que la plupart des femme interrogées données presque toujours les même réponses, a savoir qu'elle agissaient comme des mères envers leurs maris.

La plupart d'entre elles ont admis qu’elles détestaient jouer ce rôle de la mère pour leur homme.

Qu'elles voulaient arrêter. Mais elles étaient tombées dans le piège.

Même si 'attitude d'une mère un homme encourage le comportement immature, mais cela leur semble parfois le meilleur moyen d'exprimer l'amour.

Il est possible de sortir du piège de Wendy suite à un auto-examen attentif mais aussi le courage de grandir dans un nouveau genre de personnalité.

Certaines femmes restent ancré dans  le dilemme de Wendy, elles souffrent de distorsion de la notion de contrôle. Cette immaturité les empêche d'acquérir la maîtrise de leur propre vie, elles adoptent une attitude et un comportement qui leur font sentir qu'elles contrôlent la vie des autres. Nulle part ce modèle n'est plus évident que leur relation intime avec un homme. La maternité devient la stratégie clé dans leur tentative d'obtenir un semblant de contrôle adulte.

Ce rôle de mère leurs évite de grandir et de prendre ses responsabilités d’une relation adulte c’est la triste ironie  du dilemme Wendy. Ayant placé tout le blâme sur l’homme d’une relation troublée, elle a besoin  sur l'homme, elle n'a pas besoin de se soumettre à un examen douloureux de son comportement malsain de communication et de comportement.

Bientôt, cependant son homme refusera d’accepter les blâmes, et les femmes son obligées de tous les prendre. Revenir sur elle-même.

C'est quand elle commence à être en proie à l'auto-doute,

Leurs efforts pour résoudre leur problème rencontrent peu ou pas de succès, Et elles finissent pire pour ses efforts. À elle, et des femmes comme elle

Une résolution du dilemme de Wendy est possible, et elles développent un stratégie non pas pour échapper au piège, mais simplement pour survivre.

Les femmes qui sont piégées dans le dilemme de Wendy gardent un image figuratif d’un le parc d'aventure dans le monde d’adulte. Il en résulte un comportement dualtaire dans lequel elles prétendent  être mondaines.

Mais en matière de relations elles sont effectivement tout à fait naïves, Parler d'être amoureuses, Mais sont en fait fascinés par l'idée de jouer des rôles amoureux, parle d’être libérée, Mais rarement même se permettre de jouir de la spontanéité, tragiquement parce qu’elles ne peuvent pas admettre leurs faiblesses, ces femmes ne peuvent être confrontée et grandir au-delà d’elle.

D’un autre côté il y a le spectre du « Bricoleur »,( nom de la fée clochette de J.M Barrie, qui n’a pas de patience avec le comportement de Peter Pan.

Mise à jour à suivre.

 

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Le syndrome de Peter Pan

Et le dilemme de Wendy

© 2017 Peter & Wendy

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