Qui êtes-vous? Peter Pan, wendy, clochette, cendrillon?
Depuis quelque temps vous vous sentez un peu déprimé, mal dans votre peau. Vous avez cette impression de cumuler les histoires d’amour sans lendemain ou frustrant? Que vous avez sacrifiez votre vie privée à votre carrière ou inversement. Mais aussi que vous n’avez plus d’amis, et vous vous sentez-seuls. Vous vous remettez en question, ou vous vous posez des questions sur le comportement d'une personnes de votre entourage.
Certains thérapeutes américains nous parlent même de nouveaux syndromes, ces "néocomplexes" sont appelé :Syndrome de Peter pan, Dilemme de Wendy, complexe de Cendrillon, L’Œdipe de la petite fille de Blanche-Neige, etc.
Vous allez peut-être vous reconnaître ou un de vos proches dans l’un de ces portraits. Si c’est le cas, il est possible, et peut-être nécessaire de prendre rendez-vous avec un psychothérapeute. Rien ne peut remplacer l'aide d'un spécialiste.
Sur ce bog je vous invite à témoigner, vous confier, trouver une l'écoute.
Le syndrome de Peter Pan, correspond au comportement d'un homme resté enfant et qui refuserait de grandir. L'idée de ce syndrôme est développée par un psychanalyste américain, Dan Kiley, en 1983. Il n'est pas reconnu en psychologie clinique. . Il décrit plutôt une angoisse de devenir adulte et fait référence au personnage de Peter Pan qui s'enfuit dans un pays où il peut rester un enfant.
Le dilemme de Wendy caractérise les femmes qui développent une inquiétude excessive pour le bien-être d’autrui. Cette spécificité s’accompagne également de sentiments tels que la peur d’être rejetée, et l’insécurité continuelle.Wendy étant la femme qui agit généralement et inconsciemment comme une mère. A noter que le Dr Kiley a aussi écrit un autre livre appelé le dilemme de Wendy qu’il a publié en 1984.
« Aussi charmante qu'insupportable, aussi enchanteresse qu'ensorceleuse, agressive et jalouse. Aussi intelligente que manipulatrice et cruelle. » Telle est la description de la fée Clochette donnée par la psychothérapeute Sylvie Tenenbaum dans son livre « Le syndrome de la fée Clochette ». C'est la compagne de Peter Pan, elle renvoie éternellement, au monde de l'enfance. Avec sa poussière magique, elle enchante, ensorcelle son entourage autant qu'elle le manipule. Dans le roman de J.M. Barrie, la fée Clochette se pose en superwoman, forte et indépendante, en même temps que jalouse, possessive et cruelle envers qui voudrait ravir le cœur de son amoureux,
Pascale Piquet, nous livre ce témoignage, qui l'a longtemps fait séquestrée de ce qu’elle appelle « Le syndrome de Tarzan », qui nous pousse à évoluer de liane en liane (de relation en relation) ou à rester attaché à la même, nous agrippant à celles-ci comme si notre vie en dépendait. Sa névrose a bien failli l’amener à commettre l’irréparable, tant son « Trou noir » affectif d’ex-mari l’y avait poussé.
Si vous ne semblez plus comblé dans votre union mais que vous restez là, à pleurer, peut-être êtes-vous, tout simplement, adepte de Tarzan…
Ce syndrome met l'accent sur l'interrogation qu'ont les femmes qui travaillent, notamment sur la qualité de leur vie moderne et relationnelle, doivent-elles rester seules à s'assumer, ou bien chercher un "homme providentiel" pour vivre une histoire d'amour à deux.
Pouvoir dans ce cas se donner corps et âme en voulan échapper à la solitude et aux difficultés ?
Les personnes atteintes du syndrome de l'imposteur, appelé aussi syndrome de l'autodidacte, expriment une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel.
Le sauveur se construit une image acceptable de lui-même en volant à la rescousse de la veuve et de l’orphelin avec altruisme et générosité. Plutôt sympa, à première vue, non?
Le problème, c’est qu’en réalité, la détresse d’autrui provoque un mal être chez notre Zorro, ce qui le pousse à intervenir dans la vie d’autrui, plein de bonnes intentions, persuadé qu’il DOIT aider, et du coup à se positionner en protecteur, conseiller, expert, justicier… y compris quand on ne lui a rien demandé.
Malheureusement, ce rôle est infantilisant pour l’interlocuteur, qui va finir par prendre ses jambes à son cou, laissant notre Zorro tout déçu devant l’absence totale de reconnaissance, ce qui peut le pousser à devenir persécuteur ou victime.