

J’ai ressenti cette forte émotion,
Une sourde déflagration,
Mon cœur à crépité mon âme de larmes de sang
Ces mots résonnent encore, me réduisant à néant.
Sans un terme j’ai laissé suer ma peine
Pas un son n’a retenti dans les ruines de mon cœur
Ton glas a dévasté mes rêves.
Aujourd’hui rien en moi ne veut te retenir,
Transpercée de flèches, tes mots et tes actes mon vidée.
De plaisir,
Mon cœur perforé ne retient plus tes armes :
L’abandon, l’indifférence, le jugement et le rejet.
J’ai failli ne pouvoir en survivre.
Une partie de moi est morte, le jour où tu as fui
Mais je sais dorénavant panser mes plaies,
Sans un jugement de ton comportement.
Car pendant toutes ces années où je me suis liée
A ton image, tes volontés, pour te faire plaisir
Cette disposition d’aimer sans compter.
Et comme le suprême décharge de ton combat personnel.
Tu me loges dans la case des usurpatrices auprès de nos amis,
En me collant des images floutées d’une femme folle alliée.
La seule armure de tes méfaits, est mon sourire, ainsi ma volonté,
De continuer à espérer qu’un jour je serai vraiment aimé.
Si_Elle_Vit